Qu'elle se nomme béarnaise, gasconne ou occitane, les "gasconnistes" de l'Institut Béarnais et Gascon, non contents de reprendre les approximations d'Henry Barthès relayées par Jean Lafitte et Guilhem Pépin, avouent maintenant sans complexe leur indifférence face à la mort de la langue.
Il suffit d'aller lire leurs interventions sur ce groupe : http://fr.groups.yahoo.com/group/Gasconha-doman
Au moins, on sait qu'on ne peut vraiment rien attendre de positif de leur part.